Les histoires d’élus excédés par les conversations et finissant par fermer leurs comptes Twitter ne manquent pas. Cela vaut même parfois un article dans le Lab Europe 1 dans le pire des cas, si erreur de communication ou dérapage.
Que s’est-il passé ? Qu’est ce qui les a conduits à cette situation ?
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Un troll ? Ignorez
Une attaque gratuite, une moquerie, voire pire des mensonges ou diffamation venant d’un compte anonyme ou parodique. Ne rentrez pas dans la conversation, il n’y a que des coups à prendre, vous ne les ferez pas changer d’avis et ils n’ont rien à perdre contrairement à vous.
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La cellule riposte de vos opposants ? ne répondez pas personnellement
Confiez la réponse à votre cellule riposte, depuis un compte dédié à cet effet, n’entrez pas dans un débat sans fin dans lequel chacun campera sur ces positions. Ne transformez pas votre compte personnel en champs de bataille incompréhensible du grand public, laissez cela à la cellule riposte.
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Le « jargon » politique ? Laissez tomber
Abandonnez le « jargon » politique, certains sont tentés par ce langage réservé aux initiés de la politique, pour « faire pro » d’autres pratiquent cette langue étrangère malgré eux, par habitude et sans s’en rendre compte. Ce langage d’initiés coupe les élus du grand public, chaque acronyme administratif ou législatif est dans la plupart des cas totalement inconnu du grand public. Ces conversations sur Twitter écartent de facto les non-initiés à la politique créant un entre soi. Exemple : inutile de vous écharper sur le #PLF, acronyme inconnu de l’électorat, parlez de budget de l’état.
Conclusion : Rendez la conversation accessible au plus grand nombre, pour briser l’entre soi.
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Identifiez de nouveaux contacts par centres d’intérêts communs
Twitter rassemble 40% des conversations politiques sur les réseaux sociaux, loin devant les autres réseaux. C’est l’endroit idéal pour engager la conversation sur des sujets politique avec une audience qui y est disposé.
Twitter vous permet d’identifier de nouveaux contacts par centres d’intérêts, de rentrer dans des conversations en cours, vous ne tweetez alors plus en « Top-Down » mais devenez le participant d’une conversation commencée par d’autres personnes. Une personne se plaint des bouchons dans votre ville ? la propreté ou la sécurité dans les transports ? Autant d’occasions de leur répondre directement, de faire connaitre vos positions sur ces sujets. Ils ne seront peut-être pas d’accord avec la totalité de vos idées mais vous avez l’occasion de converger sur au moins un sujet. A minima, ils découvrent votre présence sur twitter, apprécient qu’une personnalité ou un élu prenne le temps de lire et répondre à leur tweet.
Cela peut être également fait au niveau national, vous portez un projet de loi ? Scrutez les conversations des personnes concernées directement par votre projet. Ils deviendront vos premiers soutiens et rejoindre votre « communauté en ligne ».
DigitaleBox vous permet d’organiser facilement cette identification de nouveaux contacts et de gérer ces conversations, vous permettant de faire grossir votre communauté avec des contacts qualifiés par centres d’intérêts.
Le Lab DigitaleBox